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La paix durant la première guerre mondiale se traduit surtout par le refus des soldats du front de se faire tuer pour d’autres (qui ont « le pognon »).

La notion de paix universelle est introduite par beaucoup d’écrivains et philosophes comme Dante Alighieri, Emmanuel Kant et aussi Victor Hugo qui dans un discours au Congrès de la paix de 1849 énoncera « Un jour viendra où la guerre paraîtra aussi absurde et sera aussi impossible entre Paris et Londres, entre Pétersbourg et Berlin, entre Vienne et Turin, qu’elle serait impossible et qu’elle paraîtrait absurde aujourd’hui entre Rouen et Amiens, entre Boston et Philadelphie. »

A partir du 19ème siècle, cet idéal de paix se retrouve dans différents groupes politiques et sociaux comme une gauche antimilitariste ou des anarchistes traditionnels mais également des chrétiens progressistes mais aussi le patronat. Ce pacifisme prend plusieurs formes, la non violence, l’antimilitarisme mais aussi l’antipatriotisme.

Après la première guerre mondiale, les personnes ayant le plus œuvré pour la paix sont Aristide Briand (prix Nobel de la paix de 1926), Ferdinand Buisson et aussi Ludwig Quidde.

Ces idéaux de paix tomberont les uns après les autres à cause du manque de courage politique face aux exigences d’Hitler. La paix a donc eu le vent en poupe durant cette seconde guerre mondiale.

Suite à cela, les guerres colonialistes ont fait naitre une envie de paix chez les jeunes notamment avec, par exemple, les hippies aux Etats-Unis.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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